J’étais ennuyée que la phrase de Marguerite Duras prenne la poussière dans sa vitrine. Par chance, on m’a proposé d’écrire un texte : j’en ai profité pour tenter de me faufiler jusqu’à la phrase.
Merci à Anne-Marie Rouge et Aurélie Pétrel
Texte paru dans Tours et détours en Bibliothèque, Collectif, Presses de l’ENSSIB, 2012